SWIFTS CREEK
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A man with a beer, is a man alive.

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Anonymous
Invité

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A man with a beer, is a man alive. _
MessageSujet: A man with a beer, is a man alive. A man with a beer, is a man alive. Icon_minitimeMar 31 Aoû - 8:08

A man with a beer, is a man alive. Taylor150 A man with a beer, is a man alive. Taylor151 A man with a beer, is a man alive. Taylor147 A man with a beer, is a man alive. Tt010


It's like a crash in the wall

La vie n'est qu'une putain de routine merdique qui ne cesse de tourmenter toutes ses âmes qui ne désirent qu'une seule, et simple chose : la paix, la liberté , que tout cela ne cesse. Je faisais partie du lot, à mon plus grand malheur. J'étais moi-même surpris d'être coincé dans une routine sans fin, jonglant sans peine avec boulot-dodo, moi qui ne vivait que de spontanéité, n'avais-je point cesser de vanter ce fait à tous mes amis, collègues , d'ailleurs? N'avais-je donc pas crié sur les toits que je n'avais rien de traditionnel, que je ne cessais de teinter ma vie de petits et grands rebondissements La vérité était pourtant si simple : je n'étais qu'un menteur, qui répandait ses merdes à quiconque osant gober mes saloperies. Je me créais un monde à mon image, je me créais mon rêve, l'endroit idéal où j'aurais bien voulu y être invité. Mais en fait, j'avais tout du type banal qui passait sa vie à bosser pour payer sa grande maison aux abords de la rivière de Swifts Creek. Seule différence : je me retrouvais souvent au Pacific jusqu'aux petites heures du matin soit disant pour décompresser, pour faire le vide.Mais le vide de quoi? Je n'avais pas vraiment d'amis, enfin si, j'étais bien entouré il faut dire, mais je n'avais pas des amis comme Kennedy... Là est toute la différence. Alors pourquoi m'évertais-je donc penser avoir besoin de se changer les idées? Je n'avais pas vraiment de problème, outre le fait de me défoncer à chaque soir, je vivais bien avec mon salaire d'ouvrier en bâtiment, je faisais ce que je voulais et ce, quand je le voulais. J'avais la belle vie quoi? Alors pourquoi étais-je installé au bar, à prendre cul sec un petit shooter de Tequila, sinon que ce n'est que pour oublier. Oublier qui, quoi... ? C'est une longue histoire, et j'ai pas forcément envie de vous la raconter.

The pacific était mon endroit préféré. Enfin, ce n'était pas vraiment difficile de faire concurrence ici.. Car il s'agissait d'un des seuls endroits à fermer à trois heures du matin toutes les nuits, vendant de l'alcool à des prix alléchants. Il n'en fallut pas plus pour me conquérir. Alcool et ambiance casanière, je me retrouvais tel un poisson dans l'eau en ces lieux. Il faut aussi dire que j'étais un habitué de l'endroit et que tout le monde me connaissait dans le coin pour mon penchant pour cet elixir de vie, comme je me plaisais si bien à l'appeler. Car, en effet, depuis que j'avais acquis l'âge de boire ( Même si je buvais bien avant dans le garage, et ce à l'insu de mes parents adoptifs ) Je me retrouvais ici, peut-être pour oublier, peut-être pour relâcher les tensions mais cet endroit était indubitablement ma seconde maison. J'y passais toutes mes soirées à un tel point que les serveuses connaissaient la moindre de mes exigences, à un tel point que je n'avais même pas besoin de parler pour commander qu'une bière de ma marque préférée se retrouvait déjà sur ma table, tel un temple. J'avoue qu'en y pensant sérieusement, ce rituel n'avait rien de bien saint. Et je sentais ma santé s'envoler, mais je n'écoutais pas, je ne regardais pas, je me contentais de vivre l'instant présent. Seulement parfois, c'était difficile. Vous savez, le passé remonte toujours à la surface un jour. Ce putain de cerveau accumule un tas de données que l'on appelle communément des souvenirs et c'est impossible de les oublier, avec toute la volonté du monde.

« Je te sers une Guiness aujourd’hui, Riley? » Melissa me souriait de ses dents blanches. Je la dévisageai un bref instant, m’efforçant de ne pas plonger mes yeux dans son magnifique décolleté plongeant.Cette femme était une déesse personnifiée. Bien sûr, je ne me retenais jamais pour lui en faire part, j’ai même réussi à obtenir une nuit avec elle…Depuis, elle me colle un peu aux fesses, comme si c’était beaucoup plus que ça alors que pour moi, ce n’était qu’une « baise » rien de plus. Mais j’évite le sujet, j’évite les crises aussi, alors je me tais, et fais semblant. Un menteur reste un menteur, que voulez-vous, c’est ainsi! Je m’efforçai de lui rendre mon plus beau sourire, un sourire qui me semblait comme totalement faux. Elle ne sembla pourtant pas y accorder une importance capitale.. et ça me soulagea. « Non je vais changer tiens, donne-moi de la vodka s’il-te-plait , ça va peut-être m’aider à dormir » Elle pouffa de rire à ma blague qui n’en était pas vraiment une puis repris son sérieux « Très bien, mais ne conduit pas après, j’ai pas envie que quelqu’un du comté meurt part ta faute hein » Cette fois-ci, j’éclatai de rire. Visiblement, elle ne me connaissait pas. « J’ai passé mon permis complètement bourré alors je crois que ça devrait aller » Elle hocha la tête en roulant les yeux en l’air puis fila derrière le bar pour effectuer ma commande qui arriva, quelques secondes plus tard, sous mes yeux. « Tiens, mais n’abuses pas cette fois-ci, la dernière fois que t’as pris de la vodka, j’ai dû nettoyer les toilettes au moins trois fois, et c’était vraiment crade » Je levai mon verre, en hochant la tête discrètement, puis avalai cul sec le puissant alcool. Cette soirée s’annonçait comme toutes les autres, mais comme un taré, je croyais qu’elle serait différente cette fois… Allez donc savoir pourquoi.
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Billie M. Rheyns-White
Billie M. Rheyns-White




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A man with a beer, is a man alive. _
MessageSujet: Re: A man with a beer, is a man alive. A man with a beer, is a man alive. Icon_minitimeMar 14 Sep - 19:04

A. Riley & Billie


Billie n'était pas du genre fêtard et encore moi alcoolique. Mais ce soir le Bronze était fermé. Enfin il était fermer même pour un mois, histoire de rénovation. Alors la petite brune Avec ces weekend de libre pendant un mois. Cela ne l'enchantait qu'a moitié, car pas de Bronze pas de travail, et pas de travail pas d'argent. Pas que Morgane soit une fille qui aime l'argent, mais ce boulot c'ets ce qui lui permet de vivre et de garder cette appartement. Son indépendance, qu'aujourd'hui elle n'échangerait pour rien au monde. Jamais elle ne retournerait vivre avec ces parents, pas qu'elle ne les aimes pas. Bien au contraire, mais maintenant qu'elle à son indépendance elle fait ce qu'elle veux quand elle le veux, où elle le veux. Sans rendre de compte à qui que se soit.

Miss Rheyns-White était seul chez elle se samedi soir, Duncan n'était pas là. Et puis cela ce weekend elle n'avait pas envie de voir des gens qu'elle connaissait. Un peut de solitude de temps en temps ne fait pas de mal. Mais elle s'ennuyait fortement chez elle, la télé, rien de très intéressent. Déjà tout vu enfin ce qui était série que Billie aimait, merci à internet. Billie regarda part la fenêtre, la pluie tombait, des gouttes fine mais qui ne donnait tout de même pas envie d'aller faire une promenade. Au travers de la fenêtre de son appartement au troisième étage la jeune femme voyait des gens courir pour s'abriter, d'autre que se fichait complètement de cette fine pluie. Elle remarqua malgré la nuit déjà bien présente un jeune couple qui s'embrassait. Cela lui fit pensée à son doudou, elle avait une forte envie de l'appeler, de le voir. Mais ils s'était dit tout les deux que c'était un weekend sans nouvelles. Chacun devait se retenir d'appeler et de voir l'autre, un concept que Billie avait mit en place. Car elle n'avait jamais été collante avec un homme, mais lui s'était différent. Elle le voulait à chaque instant à ces coter. Alors elle se forçait à se freiner. Alors ce weekend, elle ne devait pas appelé Duncan.

Morgane s'éloigna de la fenêtre, se posa sur le canapé blanc casser, puis alors qu'elle commençait à se dire qu'elle allait aller au lit, le téléphone sonna. La personne au bout du fils voulait que Blondie vienne au Pacifique, un bar un peut vieux jeux de Sweets Creek. Cala avait l'aire d'être le patron, il voulait qu'elle chante avec un musicien locale, car sa chanteuse s'était casser la voix. Il s'excusa pour l'heure, et attendit la réponse de la brune qui fut bien entendu OUI. En plus payer 100 dollars la soirée. Elle ne pouvait refuser. organe raccrocha elle avait rendez-vous dans une heure avec un certain M. Rick. Elle fila dans la salle de bain prendre une douche, se maquiller un minimum puis enfila un jean bleu déchiré, avec un haut gris, marquer "Rock" dessus. Puis elle descendit en quatrième vitesse prendre un taxi, elle n'était pas très en avance.

Enfin elle y était, elle connaissait déjà l'endroit elle y avait été quelques fois. Pas son endroits préférée. Non ais parfois pour une soirée c'était sympa. Elle alla directement au comptoir sans faire attention à quiconque. Elle demanda un M. Rick, qui arriva deux secondes après. Il l'embarqua dans une pièce à l'arrière ou un homme d'une quarantaine d'années jouait de la guitare. Cela devait être le musicien, le patron les laissa en disant que dans 20 minute il devait commencer. Alors le guitariste donna une liste de chanson à Morgane. Toutes des vielle chanson de rock des année 80. Billie en connaissait la plupart. Alors tout les deux choisirent les morceau qu'ils voulaient jouer. Puis alors que le patron revenait l'homme prit sa guitare sèche, Billie prit son courage et les paroles des musiques, juste au cas ou. Et les voila sur une petite estrade qui servait de scène temporaire. L'homme commença à grattouiller de sa guitare, et Billie suivit, sur une chanson des Beatles. Dans l'assistance la jeune fille qui avait le sourire jusqu'au oreilles, comem à chaque fois qu'elle chantait, remarqua un jeune homme, l'aire triste. Elle lui destina un sourire, vu qu'il regardait en la direction de Billie. Voilà quel était le but de Billie faire sourire les gens, et sa victime se soir, ce jeune homme.
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