« Sookie Naya Petterson »

(c) Psychozee

« Salut, je m'appelle Sookie. Sookie Naya Petterson... Vous devez savoir que Sookie n'est pas le diminutif d'un prénom plus long comme Sookaïna car dans mon cas, mes parents m'ont juste appelée "Sookie" ! Je suis aujourd'hui âgée de 27 ans et oui, je les fait pas... Je n'ai pas tellement de surnoms à vous donnez, après tout, à par Naya ou Sook', on ne me surnomme pas vraiment, à croire que j'ai une tête à ne pas me faire surnommer... C'est agréable cela dit parce que les princesse et autre niaiseries de ce genre, très peu pour moi... Je suis née le 24 Octobre 1983 à Naples, et oui, je suis d'origine italienne et américaine ! Ça vous en bouche un coin hein ! C'est sûrement de là que vient le Naya d'ailleurs. Malheureusement, mes parents sont morts il y a longtemps dans un terrible accident de voiture... J'ai vécu toute mon enfance dans une famille d'accueil... ça m'a fait du mal... Enfin, j'imagine que ça ira mieux ici... En effet, je viens de quitter mon fiancé parce qu'il me trompait avec sa super secrétaire et j'ai décidé de reprendre un nouveau départ ici, à Swifts Creek... Je suis enseignante alors changer d'air et de culture ne peut faire que du bien... Souhaitez-moi bonne chance... »

« in your head »

« Compréhensive… A ça pour l’être, Sookie l’était et pas qu’un peu ! Pour travailler dans l’enseignement, il faut bien être un minimum compréhensif sinon on ne tient pas ce qui, pour la jeune femme, était très important, de s’en sortir. Elle se laissait alors séduire par une absence justifiée assez bizarrement de temps à autre parce qu’elle savait très bien que sinon ce serait la guerre dans ses classes alors autant être compréhensive ! Douce et rigolote, Sookie est le genre de femme qui ne passe pas inaperçue, même, d’un regard on la trouve ou dés lors qu’on entend son rire qui reste souvent en mémoire. En mémoire ? Oui, le rire de la brunette reste très bien en mémoire et son humour aussi ! Elle est une petite blagueuse et n’hésite pas à venir embêter ses collègues et amis lorsque l’envie l’en prend ! Et des amis, elle en a une ribambelle ! Car oui, même si Sookie venait d’arriver à Swifts Creek, elle ne s’était pas moins fait d’amis, pire encore, elle en avait beaucoup parce qu’elle est plutôt sociable et se fait très vite à l’environnement où elle est. Malheureusement pour ces gens là, il faut savoir que Sookie n’est pas toujours claire sur ces intérêts dans cette « amitié » et lorsqu’elle va vers des gens, parfois, ce n’est pas toujours parce qu’elle les apprécie mais après tout le proverbe dit bien : Restes proche de tes amis et de tes ennemis plus encore. Et c’est pourquoi elle peut devenir quelque peu manipulatrice et obliger les gens d’une façon pas toujours très fine à faire quelque chose pour elle et ça, elle l’a apprit de par sa famille d’accueil, comme quoi, elle avait gardé quelque chose de chez eux quand même… Mais attention, Sookie a recourt à la manipulation que lorsqu’elle est dans des cas très compliqués qui nécessite cela car sinon elle prend toujours la solution la plus nette ! Une chose qui caractérise le plus Sookie c’est qu’elle est claustrophobe, cela remonte de son enfance lorsqu’elle a été enfermée dans son placard par son demi-frère, si on pouvait l’appeler comme ça, qui voulait lui faire une blague de très mauvais goût. Une heure plus tard, elle était retrouvée évanouie dans le placard et depuis, elle ne peut pas être dans un endroit trop serré sans risquer l’évanouissement ou la crise de panique. Enfin, la dernière chose qu’il faut savoir sur la jeune femme, c’est qu’elle peut se montrer un peu rentre-dedans parfois. Par exemple, elle peut très bien se montrer maladroite dans ses mots et ainsi très mal se faire comprendre mais ça, c’est sûrement un défaut qui peut devenir une qualité… »

+ / -CompréhensiveDouceRigoloteSociableMignonneCalculatriceGourmandeRentre-dedansClaustrophobeManipulatrice (parfois)

« raconte moi! »

(c) FREEZE
What a lovely childhood...

« 24 Octobre 1984, Naples,

Chère maman,

Ca y est… Sookie est née… Il est dix-neuf heures trente et Sookie est là parmi nous depuis maintenant trois heures. Elle est tellement belle, tu la verrais, elle est le portrait craché de sa mère, avec ses beaux grands yeux verts. Elle est parfaite… J’aimerais tellement que tu la vois, j’aimerais tellement que tu sois là… Pourtant tu n’es pas là avec nous deux… Tant pis… Elle grandira sans grand-mère, je voulais réellement que tu me pardonne d’avoir choisit Elena plutôt que toi… Elle portait ma fille… Je… Je ne pouvais pas la laisser tomber et tu m’a dit que tu ne voulais plus nous voir… Pourtant elle est jolie… Je vais lui donner ton nom… En deuxième nom, elle s’appellera Sookie Naya Petterson, elle portera le nom de famille de sa mère, parce que je ne veux pas qu’elle se fasse des ennemis… Tu connais notre passé… Enfin, elle est parfaite, elle est émerveillée à chaque regard posé sur le monde mais plus encore, elle est magnifique lorsqu’elle dort, lorsque sa poitrine se soulève et se baisse au rythme de sa respiration. Maman, je sais qu’on n’a pas toujours été heureux, que papa est mort et que tu es seule maintenant mais s’il te plait, reviens. J’aimerais tellement que Sookie rencontre sa grand-mère, elle n’est pas dans nos histoires, elle est seulement présente et elle mérite d’avoir le droit à un peu d’amour. Tu as beau ne pas connaître la mère, ce n’est pas une raison pour ne pas venir à sa rencontre, si tu savais à quel point elle a besoin d’une famille, elle a besoin d’un soutient alors ne nous abandonne pas comme tu l’as déjà fait ! Souviens-toi comme on était heureux avant, comme papa et toi étiez amoureux… J’ignore encore si tu vas daigner bouger… Si tu vas peut-être lire cette lettre après avoir vu la première ligne. Je me demande si tu vas penser à t’occuper de nous, si tu vas seulement ouvrir cette lettre en reconnaissant mon écriture pour l’adresse… En tout cas, cette petite Sookie à besoin de toi… Nous avons besoin de toi… J’ai besoin de toi…

PS : Ci-joint, une petite photo de moi, Elena et Sookie à la maternité.

Bisou,
Lorenzo. »

***

« Bonjour les enfants, je vous présente une nouvelle élève, elle s’appelle Sookie, elle vient tout juste d’arriver, vous allez devoir être gentils avec elle, dites Bonjour à Sookie. »

Des tonnes de « Bonjour Sookie », prononcés au même moment, à la même seconde. C’est incroyable comme les enfants ont cette capacité à répéter ce que leur maitresse dit avec autant de réactivité. Ce jour là, j’avais été surprise par le regard de chacun des enfants posé sur moi. J’avais environs cinq ans et je venais de déménager pour retourner à ma ville natale : Naples. Je n’ai jamais su réellement la raison pour laquelle mes parents avaient décidé de quitter la ville de leur bonheur, ils y avaient passé des jours heureux et puis, du jour au lendemain, à mes trois ans, ils avaient décidé de plier bagage pour aller voir un peu plus loin. Je n’avais pas tellement compris cette décision, à l’époque et les souvenirs sont flous mais je me rappelle bien les mots de mon père lorsque je lui avais demandé pourquoi nous déménagions aussi précipitamment, il avait dit : « Tu sais ma puce, il faut bien qu’on parte un jour… Et puis ne t’inquiètes pas, on va vite revenir et tout ira bien, je le sais. ». Et puis nous sommes revenus, comme par magie, comme si mon père avait toujours su que notre place était à Naples et que ces petits évènements dont je ne connaissais pas l’existence n’étaient pas si graves et qu’ils se devaient de faire bonne figure pour moi, Sookie. Je me souviens bien avoir avancé le long des rangées de paires d’yeux posés sur moi, allant prendre l’unique place libre, au milieu de la classe. Je m’étais assise et avait baissé les yeux. Je ne comprenais pas pourquoi les gens étaient obligés de me regarder ? Je détestais être la petite nouvelle et encore aujourd’hui, je n’aime pas tellement avoir ce statut. Trop de contraintes, l’assurance de ne jamais être invisible, on est détaillés à longueur de temps, on veut nous étudier comme des rats dans un labo… La journée avait passé tellement rapidement que je ne m’étais pas rendue compte que le matin même, je n’étais qu’une inconnue aux yeux de tous ces enfants. Je m’étais rapidement intégrée, à croire que mon visage familier avait tapé dans l’œil de certaines personnes. Ce soir là, j’attendais mes parents à la sortie de l’école, ma mère m’aillant dit le matin qu’elle allait venir me chercher après le travail et que je ne devais pas bouger tant que je n’avais pas vu sa petite voiture. Pourtant elle n’arrivait pas, c’était étrange… Je ne comprenais pas, je ne me rendais pas compte que tout ceci n’était pas normal, je me disais qu’elle devait être en retard, connaissant maman, c’était sûr… M’oublier ? Jamais ! Alors pourquoi faisait-il déjà nuit et personne n’était là ? La peur me prit alors et je ne pu m’empêcher de fondre en larmes… Papa, maman ?! C’est alors qu’une main posée sur mon épaule me fit comprendre que je n’étais pas seule, prise d’une peur sans non, j’avais sursauté et je m’étais précipitée au sol. C’était ma maitresse, elle me demandait ce que je faisais encore là à une heure aussi tardive, je lui avais répondu que j’attendais ma maman. Elle eut un petit sourire et me proposa de me raccompagner chez moi. Si seulement je n’avais pas peur de rester ici seule, j’aurais appliqué les conseils de ma maman mais cette dame semblait gentille et elle était ma maitresse, son rôle était bien de prendre soin de moi alors, me laissant tenté, j’avais hoché la tête pour venir dans sa voiture. Elle m’avait demandé mon adresse afin d’aller me déposer devant chez moi. Avançant à allure modérée, la jeune femme me posait régulièrement des questions, histoire de mettre un peu d’ambiance dans le silence de l’habitacle. C’est alors qu’on entendit les pompiers et que la jeune femme ralentit devant un accident. Une voiture était rentrée dans un mur, une voiture qui ressemblait à celle de ma mère. Je me souviens de ma maitresse sortant de la voiture, comme prise d’un moment d’égarement et s’approchant d’un pompier. Elle avait l’air perdue, troublée mais surtout, gênée. Puis la surprise prit place sur son visage et elle revint vers la voiture et y monta sans se presser, se tournant vers moi, qui était totalement détendue, je n’aurais sûrement pas du… Elle me regarda dans les yeux, posa sa main sur ma joue et me dit alors dans un calme troublant : « Sookie… C’est ton papa et ta maman qui sont là… Ils sont… montés au ciel… »

La suite fut des plus intéressantes car aux vues des évènements récents et de la mort de mes parents, une enquête fut menée. En sortirent trois conclusions : La mort de mes parents n’était pas accidentelle. Elle avait été mise en scène et cela voulait dire une chose : Il y avait quelqu’un qui leur en voulait et qui les avait assassinés. Je fus placée dans une famille d’accueil peut après la mort de mes parents parce que ma grand-mère, dont je ne connaissais même pas l’existence avait refusé de me prendre chez elle… Pouvais-je la blâmer ? Elle ne me connaissait même pas et moi non plus je ne savais même pas qui elle était alors autant allé chez de parfait inconnus. Je suis donc arrivée début Septembre chez eux, suivie de près par une assistante sociale, celle qui s’était occupée de mon dossier et qui avait eut le plaisir de me côtoyer depuis la mort de mes parents. Je n’avais presque pas pleuré… C’était horrible, je me sentais seule, abandonnée mais pourtant je n’avais presque pas pleuré parce que j’avais toujours des gens près de moi… Je voulais pleurer toute seule, comme une grande fille et affronter la douleur qui détruisait mon estomac… Seule. L’assistante sociale mettait ce manque de larmes sur le compte de la souffrance, je préférais lui faire croire qu’elle disait la vérité. Il est vrai qu’à l’époque, et encore aujourd’hui, je souffrais énormément, j’étais déboussolée, seule dans un monde où j’avais toujours été protégée mais pourtant j’étais forte, je gardais la tête haute et je me devais de le faire, pour mes parents. Je me suis avancée dans le perron et fut sous le choc, cette maison sentait… les fleurs ?! Oui, elle sentait bon les fleurs, on aurait dit que tout y était parfait. Une femme se présenta alors comme la « maitresse de maison », hein ?! Je ne comprenais pas ces mots, je ne les avais jamais entendu et ne souhaitait pas tellement les entendre, à vrai dire… Je m’étais retrouvée dans une famille de petits bourgeois… Quelle belle surprise ! J’ai grandit là-bas et j’ai découvert que la bourgeoisie italienne avait un gout prononcé pour les mots vulgaires, le bon vin et le bel anglais. Je m’étais retrouvée à étudier le piano, à apprendre à parler l’anglais de la Reine et plus encore, je m’étais retrouvée à picoler avec mes « parents » devant le feu de bois de la cheminée. Que d’aventures ! Cette famille fut pour moi une découverte de tous les jours pour moi, j’étais comme une sociologue plongée dans un environnement hostile et je me devais de l’étudier, d’en apprendre les modes pour pouvoir m’y faire accepter. Je me suis donc laissée tenter par l’éducation à la bourgeoise, les jolies petites robes au col Claudine lorsque j’étais jeune et puis, avec le temps, j’ai eu le droit aux robes plus simples et puis toutes ces jolies tenues que peuvent se permettre les familles aux revenus élevés. J’ai eu une éducation très approfondies, j’ai acquis de bonnes manières et des attitudes qui aujourd’hui me sont restée comme, par exemple : Sortir un gros mot dans la langue de Shakespeare avec une élégance et une distinction sans mesure. Ainsi faisais-je tomber une tartine le matin, mes parents me prenaient à prononcer un petit « Fuck » d’une élégance magique. C’était ça chez eux… Enfin, j’ai grandit et mon gout pour le vin français se prononça et dés que j’eu dix-sept ans, je fus instruite sur les noms des vins les meilleurs et les plus élégants, d’après ma mère. Je lui ai aussi recraché en plein visage du scotch parce que son gout me dégoutait, ce qui fut sûrement l’épisode le plus drôle car celle-ci se mit à me jeter en plein visage une rasade du breuvage pour me faire comprendre ce que ça faisait. J’ai appris à vivre sans mes parents biologiques, me faisant à la nouvelle vie qui m’avait été donnée sans pour autant les oublier car, à chacun de leurs anniversaires, je me suis prise à aller poser des fleurs sur leur tombe et, chaque mois, leur rendre visite pour leur raconter ma vie…

(c) WILD CHILD
What it feels for a girl...

« Au revoir, et n’oubliez pas la dissertation que je vous aie donné ! Lundi, dernier délais ! »

Je me pris à sourire à un élève et lui intima de sortir sous peine de lui mettre une fessée, un petit éclat de rire sortant de ma bouche. J’adorais enseigner, j’adorais ce contact avec les élèves, avec la jeunesse, le bonheur, les premiers amours. Moi, j’étais fiancée à un jeune homme italien, issu d’une famille d’avocats et qui était… avocat ! A croire que suivre la lignée familiale était ancré dans ses veines. Nous nous étions rencontrés dans un gala de charité, il m’avait apporté un verre et avait commencé à me parler, j’avais commencé à boire et lui avait tout recraché au visage, c’était du scotch. Il avait été séduit par mon manque de tact et ma maladresse, je me suis laissée tentée par son élégance et son petit rire. Nous étions fiancés depuis peu mais nous connaissions depuis maintenant trois ans, trois magnifiques années passées à ses côtés et que je ne regrettais pas du tout… J’avais fini le boulot un peu plus tôt que d’habitude étant donné qu’une classe était partie en voyage scolaire et je me laissais donc un peu de répits et finissait à quinze heures, une heure parfaite pour aller voir mon fiancé à son travail et lui proposer un petit cours particulier… J’avais donc pris mes affaires et prit ma voiture pour aller le voir. J’étais sortie de cette voiture, avait pénétré dans le hall de son cabinet et était allée vers son bureau… Tiens, que faisait sa secrétaire ? N’était-elle pas là ce matin ? J’aurais pourtant juré l’avoir vue, elle avait sûrement due prendre un congé… Je me suis donc dirigée vers le bureau de mon fiancé, avait ouvert la porte et l’avait vu sur son bureau en charmante compagnie, son pantalon baissé… Tiens… Comme c’était comique, c’était sa secrétaire qui était allongée sur le bureau avec lui… Je restais là, bloquée par le choc. Alors c’était comme ça ? Il fallait que le seul homme qui puisse la rendre heureuse la trompe avec sa secrétaire ?! Génial… En plus il portait le caleçon qu’elle lui avait offert… Ca c’était tellement touchant ! J’eus un petit rire sarcastique et me prit à attraper un rouleau et lui mettre un coup dans le derrière, lui faisant comprendre que j’étais là et que la copulation était terminée… Puis, lui jetant sa bague de fiançailles en pleine face, je me suis laissée allée à l’insulte en anglais puis m’étais enfuie, me permettant même une petite folie : Crever les pneus de sa jolie nouvelle voiture… Oups ! J’ai fait ensuite mes bagages et cherché sur internet un endroit où aller et je l’ai trouvé… Swifts Creek… Australie… Un endroit anglophone… Un endroit calme… Parfait !

Swifts Creek me voilà !

« répond à mes questions ! »

Essayez de faire des réponses un minimum construites ! Répondre à la première personne du singulier, de préférence !

●● Faite vous les gestes qui sauveront la planète dans votre vie ? Bonne question, on va dire que je trie les déchets régulièrement, quand j'y pense et puis je prends le bus parfois mais sinon j'aime bien prendre ma voiture et aller au boulot, comme ça, tranquillement.
●● Cigarettes, substances illicites, alcool, etc. En consommez-vous ? J'ai beaucoup fumé à une période mais je me suis arrêtée lorsque j'ai rencontré mon fiancé, maintenant, vu qu'il m'a trompée, je peux bien reprendre la cigarette, non ?! L'alcool, j'en prend pendant les grandes occasions ou une fois de temps à autres... Quant aux substances illicites, je n'y ai jamais touché, à quoi bon ?! Je n'en ai jamais trouvé l'intérêt...
●● T'as jamais rêvé d'avoir un super pouvoir ? Lequel ? Ouais, j'ai toujours rêvé d'avoir le pouvoir d'entendre les pensées des autres comme Sookie dans True Blood mais sans pour autant être une fée... Pouvoir savoir ce qu'ils pensent de moi lorsque j'agis comme ça... Ça pourrait provoquer des petites querelles mais qu'importe, ça doit être vraiment intéressant...
●● Qu'est ce que tu préfères manger ? Je suis assez simple, pour me faire plaisir en nourriture, il faut juste me faire un petit plat qui nécessite pas tellement de temps.
●● Quand tu étais enfant c'était quoi ton dessin animé préféré ? Mon dessin animé préféré, là c'est une très bonne question parce que j'y ait jamais pensé mais je me souviens avoir regardé Le Roi Lion quand j'étais petite, avouez que c'est triste lorsque Mufasa... Quoi que... J'ai encore plus pleuré à la mort de la mère de Bambi...
●● La honte de ta vie, c'était quand ? C'était lorsque je suis entrée dans ce bureau et que j'ai retrouvé mon mari et sa secrétaire sur son bureau... Tellement cliché hein ? Ce n'est peut-être pas moi qui aurait du avoir honte ce jour là mais bon, j'ai immédiatement eu honte d'avoir été aussi idiote pour choisir un homme qui se tapait sa secrétaire depuis deux ans et qui l'avait demandée en mariage depuis seulement un mois... La belle affaire, non ? Apparemment monsieur voulait une couverture et ça excitait Madame...
●● Le plus beau jour de ta vie ? Euh... Franchement je sais pas... Je n'ai jamais vraiment pensé au plus beau moment de ma vie mais je pourrais sûrement dire : le moment où j'ai enfin pu prendre mon indépendance...
●● Votre plus mauvais souvenir ? Le plus mauvais souvenir de toute ma vie est sûrement la mort de mes parents dans un accident de voiture et mon placement dés lors dans une famille d'accueil, même s'ils m'aimaient beaucoup, je savais très bien qu'ils ne remplaceraient pas ma famille...
●● Et si tu étais un animal ? Je serais une panthère noire, j'ai toujours trouvé ces animaux magnifique et puis, c'est pas tellement commun comme choix !
●● Si vous pouviez changer une chose, ça serait quoi ? Je ne changerait rien parce qu'à trop vouloir on se rend compte que tout ce qu'on a n'est pas mieux que ce qu'on avait avant...
●● Ou est ce que tu aimerais vivre ? Swifts Creek me convient très bien, pourquoi j'irais vivre ailleurs ?!
●● Ton style de musique préféré ? J'ai pas de style préféré mais par contre je ne supporte du RAP ou bien de la country, à ça non merci ! Par contre, je peux très bien écouter de la musique classique sans problème même si je sature très vite...
●● T'es plutôt ciné ou télé ? Cinéma, sans conteste ! La télé, c'est un tas de connerie, des émissions de télé-réalité aux concepts complètement idiots et inutiles alors qu'un bon film c'est tellement mieux, j'apprécie le bon cinéma, ça vaut toutes les télé du monde !

« qui est ce ? »

●● Pseudo : Dodixe.
●● Prénom : Elodie.
●● Âge : 16 ans et demie.
●● Que penses-tu du forum ? Il est magnifique
●● Comment as-tu atterri ici ? Par Anna et Jayden *sbaaaaff*
●● Personnage : Personnage inventé.
●● Avatar : Rachel McAdams, la meilleure
●● Groupe : Actifs
●● Fréquence de connexion : 6/7 jours, voir plus.
●● Multicomptes : Non.
●● Le mot de passe pour faire partit de la vie à Swifts Creek ? Code validé par Callum